Cette mission de service public offre des prestations gratuites et accessibles à toute personne désireuse de consulter des documents conservés.
• CCPAL
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• Communes
• Gestionnaire des sites ocriers
• Archives départementales
• Associations locales
Sensibilisation
LocalisationGrand Site des Ocres du Luberon en projet – périmètre global (cf. cartes)
Non démarré
Phasage• Réunion de concertation
• 2025 Recrutement Master
• Accroître les possibilités de recherche.
• Préserver le patrimoine vernaculaire
• Protéger la mémoire locale.
• Offrir au public un service éducatif de qualité pouvant répondre efficacement à ses demandes ponctuelles d’informations grâce à une accélération du traitement des demandes. Combler une lacune au niveau de la politique de diffusion des archives en mettant à la disposition du public des fichiers qui leur étaient jusqu’ici inaccessibles
Cette mission de service public offre des prestations gratuites et accessibles à toute personne désireuse de consulter des documents conservés. Toutefois, compte tenu de la nature des documents qu’elles conservent, la communication des documents est soumise la loi 79-18 du 3 janvier 1979). Sur le périmètre OGS, si chaque commune dispose de ses propres archives, toutes n’ont pas encore été analysées et seule la Ville d’Apt dispose d’un archiviste qualifié. En conséquence, le travail de traitement documentaire (tri, élimination, inventaire, analyse, classement) est quasi inexistant. D’autre part, avec le temps, les risques de déclassement ou de perte sont multipliés. Les ressources concernées sont nombreuses : fonds documentaires (ouvrages, revues), documents administratifs, et documents iconographiques (photos, cartes postales, affiches, plans), inventoriées ou pas. Il existe également des archives au sein de fonds privés (entreprises, associations, familles) renfermant une quantité d’informations utiles pour les chercheurs ou les curieux, inaccessibles ou actuellement ignorés du public. Compte tenu de méconnaissance de ces fonds, il est impossible de livrer des données quantitatives correctes. II se pose aussi le problème de savoir comment diffuser ces ressources, sans pour autant les perdre et les mettre à la disposition des chercheurs et de faciliter la recherche sur le Massif des ocres. Cela sera résolu dans l’avenir. Reste à déterminer les moyens les plus adaptés. Les utilisateurs potentiels se caractérisent par leur hétérogénéité. La typologie va des chercheurs amateurs aux universitaires et étudiants en histoire de l’art, en histoire, en architecture, des graphistes, des généalogistes, des journalistes. Dans tous les cas, le gros de la demande à traiter arrive par courrier et plus souvent par téléphone. Il est naturellement et actuellement difficile de satisfaire les demandes. Dans le but de développer et de promouvoir l’image de marque des ocres et de faire connaître ses ressources auprès du public, une association des amis des archives pourrait également et éventuellement être mise en place avec les associations locales, dans le cadre d’une coopération documentaire. Patrimoine vernaculaire Sur tout le périmètre, malgré les interventions d’associations historiques locales, il est nécessaire d’inventorier des vestiges de l’aventure industrielle des ocres (moteurs, systèmes de canalisations, etc.) de plus en plus camouflés par la fermeture forestière. Il en est de même pour les sites ocriers abandonnés (carrières, hameaux, sites de lavage, etc.) et à leur histoire qu’il convient d’identifier ou d’étudier. Comme pour le volet “archives”, ce projet sera mené en collaboration avec les communes, les habitants et historiens locaux. L’ensemble de ces ressources historiques, culturelles et patrimoniales seront mises à la disposition de tous les publics intéressés au travers d’un outil numérique consultable à partir du site internet dédié au projet des ocres du Luberon. Un accès à ces connaissances sera proposé dans le bureau d’information de Roussillon.
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